LIBERTIN,

Chers amis j'ai décidé de passer quelques étapes qui, pour finir, ne faisaient que plaisir a mon égo et ou vous n'y trouveriez pas votre intérêt .

Je continue donc ce blogue en passant un certains nombre d'étapes.

Il y a trois mois d'ici j'eu une discussion avec Sarah. En effet la veille nous avions été en club et comme souvent ça avait été le cas j'avais du la convaincre pour y aller. Et chaque fois elle me disais qu'elle y alla pour me faire plaisir. Toutefois cette soirée là elle avait pris sérieusement sont pied avec un magrébien de bonne éducation et de savoir vivre, tout cela devant mes yeux.

Savoir que Sarah prend son pied est un réelle plaisir pour moi. Je sais (allons restons modeste) je crois savoir que notre union est tellement forte et dépasse tellement l'entente physyque que l'on a ensembe, que notre union est une réussite totale de tous les jours et que ce n'est pas un inconnu qui la fait jouir physiquement qui pourrait mettre tant d'années (7) de vie commune en périle.

Un mois et demi plus tard je lui demandais donc de ressortir en club. Elle ne semblait pas emballées du tout et une discussion, non pas une dispute, pris forme. Je lui expliquait que je ne la comprenais pas... Chaque fois que je voulais aller en club elle discutta mais accepta, chaque fois elle s'y ammusait bien .... et pour couronner le tout ... a chaque fois elle prit son pieds d'une façon extraordinaire une fois deux fois et parfois même plus . Alors je lui dis : " Je ne comprends pas, a chaque fois que tu m'accompagnes je dois te convaincre mais a chaque fois tu passes une excellente soirée et tu te défonces que c'est beau et gai a voir". Et,  j'ajouta " Je sais que t'aime le sexe, que tu prennes ton pieds avec un mec ne me dérange pas ... mais ne vient pas me dire que t'aimes pas aller en club quand je t'entends combien tu peux jouir avec un un autre homme que moi et parfois même avec une femme". Je n'insista pas plus sur le sujet.

Trois semaines plustard je lui demandais si elle étais d'accord de retourner en club et sa réponse m'étonna de plus belle : OUI. Cette soirée là elle c'est envoyée en l'air avec trois hommes d'affilées. Sa chatte n'en pouvait plus. Mais elle s'était libérée. Je peux dire que je suis certain que nos deux dernières discussions n'y sont pas pour rien. En fait, notre éducation ne nous apprends pas le libertinage. Au contraire, on doit être fidèle... ne pas succomber aux pêchés de la chair... du vice...du plaisir !

Sarah à compris maintenant que je ne pensais pas comme cela et qu'elle aussi avait le droit de penser autrement. Que si tous les deux on pensait différemment que les membres de notre famille c'étais notre affaire à nous et pas celle des autres.

Du coup la voilà libèrée de ce préjugés éducatif qui lui permettent de prendre son pieds avec d'autres hommes sans culpabiliser. Merci Sarah d'être aussi ouverte d'esprit et de m'accompagner et d'être à mes côtés dans la vie. T'es une femme géniale !

Petite question ? Savez vous ce qu'est une femme idéale ???

C'est une Dame en société...c'est une Mère pour ses enfants ... et c'est une Pute au lit !

A méditer !!!

La vie constante à deux était merveilleuse, nous avions pris la bonne décision, on était visiblement fait l’un pour l’autre. Nos boulots respectifs ne nous laissant que peu de temps pour être ensemble, et ça ne nous convenait plus. C’est ainsi qu’après 15 ans de carrière pour Sarah et 13 ans pour moi, nous avons décidés de quitter nos patrons, pour s’installer en tant qu’indépendants, et de vivre notre union pleinement soit 24h/24h et 7j/7j. Nous avons déménagés vers la province d’Anvers et devenions gérants d’un club de sport. Nous y travaillions comme des bêtes, parfois jusqu'à 20h par jour, mais au moins nous étions ensemble. Nous formions une équipe de choc à deux.

Un jour ayant vraiment beaucoup travaillé, je proposai à Sarah d’aller faire un sauna. Immédiatement elle accepta mais je lui annonçai que ce serait un sauna spécial, un sauna libertin… Elle me demanda ce que c’était. N’en sachant pas beaucoup plus je lui expliqua qu’il s’agissait d’un sauna comme tout sauna, mais que les couples pouvaient y faire l’amour. Là, elle devint fort hésitante, mais je parvins à la convaincre : « Ecoute chérie, je ne sais pas non plus exactement, mais je peux simplement te garantir un truc, si ça ne te plais pas ou ça ne me plais pas on partira, c’est tout. Pour finir qu’est ce qu’on risque, on va tout de même pas nous manger et mourir idiot ? ». Elle prépara nos affaires et nous voilà partis pour l’unique sauna libertin de la région Anversoise, l’Exotica. Après une petite demi-heure en voiture on y arrive. On prend notre sac et on sonne. C’est une grosse villa dans les beaux quartiers chics entre Schoten et Schilde.

Un homme vient nous ouvrir, et je lui demandai si c’était bien ici le sauna. Il me dit d’entrer pour nous expliquer. Nous rentrons. Dans le hall, il m’explique qu’en effet c’était un sauna libertin dans le temps, mais qu’aujourd’hui c’était devenu un club libertin, mais que les saunas et hammam sont encore toujours à disposition et en fonctionnement. Sarah et moi nous nous regardons d’un regard interrogateur. « Qu’est ce qu’on fait, on essaye ou pas ? » Sarah me dit de prendre plus de renseignements. M’adressant à mon interlocuteur il m’explique qu’il y a un bar ou l’on va d’abord prendre un verre relax qu’ensuite on peut soit danser soit aller au sauna, et qu’il y a des cabines (alcôves) ou l’on peut faire l’amour ensemble. Il ajouta ici tout est permis mais rien n’est obligatoire… Sarah et moi on se regarde de plus belle et je lui dit : »Allez viens on essaye et si c’est pas comme le sent on repart OK ? Rappelle toi le premier sauna que tu as fais, tu étais hésitante et maintenant tu aimes bien, ici c’est peut-être la même chose, et elle accepta». Le patron nous expliqua qu’on avait pas besoin de notre sac car eux fournissaient les serviettes et tout et tout. L’entrée réglée il nous fit visiter le bar, la piste de danse, les vestiaires le petit coin restauration et nous dit que les alcôves étaient au sous sol et le hammam et sauna au fond. Il nous quitta ensuite en nous rappelant que tout était permis mais rien n’était obligatoire, et nous installa au bar.

L’endroit semblait fort correct, la musique était bonne et on commanda deux gin tonic. Quand je voulu payer, on me dit que c’était compris dans le prix d’entrée. Sarah et moi-même nous nous concertons, et nous trouvons cette formule tout de même pas mal. Commençant à décompresser de nos dures journées de travail, on repris un second verre. Il y avait de plus en plus de monde, peut-être 50 voir 60 personnes. Et pendant qu’on sirotait notre verre, on voit un homme passer… en caleçon !!! On se regarde et on rigole, ça doit être un farfelu qui se rends au sauna. Mais voilà que dix minutes plus tard c’est une femme en soutiens gorge et serviette nouée autour de la taille qui passe. Sarah me dit alors, »quoi il faut traverser la piste de danse en soutient devant tout le monde pour aller au sauna ? Ben faut croire que oui quoi. Non, ça c’est exclu, me dit elle. T’inquiète pas t’a qu’a mettre un essuie de bain autour de toi ainsi les autres ne verrons rien. Ah oui ça c’est une solution. L’ambiance est bonne au bar, les gens sont correctement habille, on rigole, on s’amuse quoi. Notre second verre terminé je propose à Sarah d’aller faire un sauna. On se rend au vestiaire et on traverse donc le bar et la piste de danse entièrement recouvert de nos essuies. Les gens nous regardent passer mais nous n’y prêtons pas trop attention. Après une heure de sauna je propose à Sarah d’aller prendre un verre. On ouvre la porte de la discothèque et du bar et là …… tous le monde est à moitié nu, en slip en soutient ! On est fort étonné. On prend notre verre et on en discute. Au fait on en rigole, tout le monde se sent à l’aise, l’ambiance y est chaude et bon enfant, mais on reste surpris. Nous décidons alors d’aller voir ce qui se passe dans le sous sol. Et en traversant la piste de danse on constate, chose que nous n’avions pas remarqué lors de notre première traversée, que celle-ci est une vitre donnant ainsi vue sur le sous sol où un grand matelas est posé a même le sol. Un groupe d’homme et une femme y sont présents. Nous descendons, et des cris et murmures d’accouplement se font entendre. On va vers la plus grande pièce, celle en dessous de la piste de danse. Une femme et 8 ou 9 hommes, s’y caressent et baisent la femme. C’est presque à la chaîne qu’elle se fait grimper dessus, et visiblement au son de sa voix elle aime ça. J’apprendrai plus tard qu’il s’agit d’un Gang bang. Un peu gêné et interpellés par ce spectacle nous continuons notre visite des sous-sols. Un peu partout y a des petites chambres ou 2, 3 voir 4 personnes sont en train de faire l’amour. On regarde et je ne peux empêcher mes mains de commencer à caresser Sarah. Tout en regardant un couple faire l’amour sous nos yeux mes doigts se dirigent vers l’entre jambe de Sarah. Au moment ou mes doigt s’échappent vers sa chatte je constate qu’elle est trempée. Pour ma part Ma queue est redressée fièrement à la verticale comme pour mieux voir le spectacle auxquels nous assistions. Je continu à caresser Sarah visiblement excitée par le spectacle et lui murmure dans l’oreille » chérie j’ai envie de te prendre, viens on va se trouver un petit coin à deux». Sans la moindre hésitation nous cherchons une alcôve qu’on pouvait fermer a clef. Pas question de faire l’amour à plusieurs voyons. « Viens la on sera bien ». J’avais trouvé une alcôve à la lumière tamisée pouvant fermer à clef. La seule chose c’est que les parois sont percées de trous où les gens peuvent vous regarder. « John on va tout de même pas faire l’amour là, tout le monde peut nous voir ? » « Et alors, regarde il y personne, ils sont tous auprès de la grande pièce » »T’as pas envie de moi » Je pris Sarah dans mes bras et l’embrassa voluptueusement, pendant que mes mains commencèrent à se balader sur son corps. Je sentais son excitation augmenter très vite. Le spectacle de ce couple faisant l’amour devant nous l’avait sérieusement émoustillée. A un moment elle me fit mettre sur le dos et commença à me sucer. Elle de dos à la cloison percée et moi de face. C’est ainsi que je pu remarquer que deux paires d’yeux étaient en train de nous observer. Mon sexe augmenta spontanément de volume juste du fait d’être vus. Je susurrai à Sarah qu’on nous regardait et je craignais sa réaction, qu’elle veuille s’arrêter et rentrer. Mais tel ne fût pas le cas, au contraire, elle se mis à mes côtés et continua sa fellation de plus belle. Il fallait croire qu’elle voulait montrer à nos spectateurs qu’elle était la reine de la pipe (ce que je peux vous garantir). Passant mes doigts entre ses jambes pour la caresser je retrouvais une petite chatte dégoulinante de plaisir et ouverte a souhait, c’est à peine si on entendais pas de petit cri s’en échapper, petit cri qui disait « prends moi STP prends moi je suis excitée j’ai envie de te sentir en moi, prend moi je t’en prie » Je ne pu bien sûr pas résister à cette invitation. Eh bien se fût un régal. Sarah à joui d’une façon très intense à deux ou trois reprise et ce devant les yeux de ces gens qu’on ne pourrait jamais reconnaître. Nos ébats terminés nous retournâmes au bar prendre un verre pour nous remettre de nos émotions. Toutefois en passant par la grande pièce la femme continuait à se faire grimper dessus et criait comme une forcenée. Un peu gêné de remonter au bar, ben oui quoi tous le monde devait se douter qu’on avait fait l’amour, et puis lorsque Sarah à pris son pieds cela se voit sur son visage, elle rayonne réellement, c’est magnifique à voir, on commande notre verre. Le buvant tranquillement et discutant à deux de tout ce qui c’était passé un homme vint nous aborder en Néerlandais. « Bonsoir, mon nom est Freddy, vous venez souvent ici ? » «Je lui réponds que non, que c’est la première fois et par politesse lui explique également que Sarah ne parle pas Flamand. Sur ce d’une façon très courtoise et dans un Français très approximatif il s’adresse à Sarah « Pas grave madame, moi parler  Français petit peu » et d’ajouter « Toi très beau ». Freddy et moi continuons un rien la discussion et se renseigne si on ne veut pas descendre avec lui. Je décline l’invitation et il me dit qu’il n’y a pas de problème peut-être une prochaine fois.

Ma montre indique 3 heures du matin, il ne nous restait plus beaucoup d’heures à dormir donc nous décidâmes de rentrer.

Dans la voiture sur la route du retour la discussion allait bon train. J’appris de Sarah qu »elle avait passé une très bonne soirée. On était très étonné de la courtoisie des gens de leur savoir vivre beaucoup plus respectueux que dans des boites de nuit classique. Je compris également que Sarah avait un léger penchant à l’exhibitionnisme, et qu’elle avait aimé faire l’amour devant des gens qui la regardait.

Nous fûmes à 4 h du matin dans notre lit, et avant de tomber littéralement dans les bras de Morphée je lui demanda « On refera ça ? » et sa réponse étonnante fût un « OUI » enthousiaste. Je la pris dans mes bras et on s’endormi scotché l’un a l’autre.

DomJohn

Près de six mois après qu’on se soit connu, nous décidons de partir ensemble en vacance au Kenya durant 9 jours afin de mieux apprendre à se connaître. On est tout fou tous les deux, 9 jours ensemble, le pied. Arrivés tard la nuit à l’hôtel on découvre notre chambre et superbe surprise, il y a un douche pour au moins deux personnes à la foi. Fatigués et se sentant sale du voyage, et puis avec la chaleur qui y règne, on décide encore de se doucher à 3 h du matin. Bien sur excités comme des fous, de passer 9 jours ensemble, je crois avoir passé la douche la plus longue et la plus coquine de toujours. A trois reprise sous l’humidité et la chaleur d’une belle nuit Africaine nous avons fait l’amour sous la douche (l’addition de l’eau pour l’hôtel à sérieusement augmenté ces 9 jours là LOL).

Alors qu’on est installés au bord de la piscine qui indique pas moins de 28°C je susurre dans l’oreille de Sarah que j’ai envie d’elle et qu’elle me suive jusqu’aux toilettes de la piscine et j’ajoute »j’ai envie de toi». Son visage affiche un désaccord mais sur l’emprise de mon regard insistant elle me suit. Son éducation ne lui permettant pas de faire des galipettes n’importe où. Voyons, on ne fait pas l’amour dans des toilettes où tout le monde peut nous entendre, non ? Je l’entraîne donc dans une des cabines et commence à la caresser. Très vite son souffle et ses petits murmures étouffés l’emmènent sur la voie du plaisir. J’en conclus donc que quelque part, Sarah aime les situations un peu dangereuses, et j’en prends bonne note, bien entendu.

Deux trois jours plus tard, nous décidons de prendre un bain de minuit. Quoi nu ? Oui bien sur sinon ce n’est pas un bain de minuit en plus il fait tout noirs donc personne ne peut nous voir et à nouveau elle accepte. Après avoir nagé +/-300 mètres nous arrivons à un petit bateau ancré près de la plage. On grimpe dedans et on en profite. Petit bisous ici petit bisous là et les mains baladeuse. Mais la pulsion monte et me voilà entrain de lui faire l’amour sous les étoiles Africaine bercé par le doux flux et reflux marin. Ses soupirs et ses râles se font de plus en plus fort et puis … brusquement, on entend dès cris et des engueulades en Swahili. On regarde autour de nous et la on voit deux yeux blanc entrain de nous observer et de nous engueuler. Je tente de faire comprendre au propriétaire du bateau qu’on ne fait rien de mal, je lui offre quelques cigarettes que j’avais dans une pochette hermétique, et il repart calmement. Il devait être en place depuis un bon moment. Sur ce Sarah toute inquiète me dit qu’elle veut rentrer car il nous a vu. Je rétorque … »et alors si ça lui fait plaisir tu n’es pas morte non », et on repart de plus belle dans nos galipettes jusqu’à l’orgasme que je constate décuplé chez Sarah par l’intrusion de ce voyeur inattendu. Ces 9 jours de vacance de farnienté ont été magnifiques. Soleil, cocktail, et amour, qu’espérer de plus. (Aujourd’hui un de nos chiens s’appelle d’ailleurs Kenya en mémoire à ces vacances d’amour). Sarah et moi nous avons la même façon de voir les choses, de les sentir, on est bien c’est presque trop beau pour être vrai.

Notre amour et notre entente sont au zénith, jamais je n’avais connu un tel bonheur une tel complicité, une telle confiance à bouleverser ses croyances ou ses marques d’éducation parental.

Mais voilà que rentré en Belgique je repars le lendemain pour quatre jours avec une de mes maîtresses « K » à la Côte d’ Azur. Quatre jours d’enfer. K était une copine à la base, et au fil du temps était devenue ma maîtresse. Elle savait très bien qu’une histoire entre nous ne serait jamais possible. Mais malgré tout elle était tombée amoureuse de moi, et ne voulait pas interrompre cette relation. Ces quatre jours furent un enfer, constamment j’avais le film de mes vacances avec Sarah en tête. Je ne pouvais m’empêcher de penser à elle. A chaque instant elle étais présente, j’avais encore le parfum de sa peau et de son intimité dans les narines mais voilà j’étais là bas à plus de 1100 Kms avec une maîtresse à qui je ne parvenais même pas à faire l’amour tellement mon esprit était avec Sarah. A croire qu’elle avait été trouvé un Marabout et qu’elle m’avait ensorcelé.

De retour en Belgique après ces quatre jours j’ai pris immédiatement contact avec Sarah et lui demandais de venir chez moi (là on était seul, tandis que chez elle il y avait les enfants). Je crois qu’elle mit un quart d’heure pour me rejoindre alors qu’il y avait tout de même plus de 30 Kms qui séparaient de nos domiciles respectifs et ce en plein trafic Bruxellois .Et là on se lance dans les bras l’un de l’autre. Nos yeux sont humides de bonheur et de joie de se retrouver. C’est le moment où je lui annoncerai me rupture avec K. Toutefois je lui expliquerai en même temps ne pas encore me sentir prêt à vivre en concubinage permanent et une fidélité sans reproche. Sans broncher elle fait mine d’accepter même si je sens que dans son fond intérieur je la blesse mais c’étais mon état d’esprit (et quelque part je m’en félicite, car j’ai eu le courage à l’époque d’être franc, correct et honnête devant la personne que j’aimais le plus au monde à cet instant) même si j’avais dur avec moi-même.

Quelques semaines plus tard Sarah venait à la maison dormir deux ou trois jours. J’avais préparé pour l’occasion une belle entrée, un plat style râble de lièvre à la moutarde et échalotes, et un léger dessert le tout accompagné de bons vins adéquats sans oublier un succulent cocktail maison avec les zakouskis de circonstance. A chaque fois qu’on se retrouvait pour quelques jours on en faisait une fête. J’avais donc mis les petits plats dans les grands et c’est avec la lumière tamisée égaillée de bougies et d’une musique douce, qu’elle vint me rejoindre un soir en semaine après le boulot. Comme d’accoutumée on se lança dans les bras l’un de l’autre et échangèrent de gros baisers plein de tendresse d’amour et touti quanti (LOL). On pris l’apéro à l’aise. Elle alla aux toilettes, et revint, on finissait l’apéro. Alors que je m’attelais à la cuisine elle se fit un brin de toilette et un cri joyeux retentissait dans mon minuscule appartement. «  A Table ». Eh oui tout était près. Sarah sortie de la salle de bain toute pimpante, mais fort rouge. On continua la discussion et je lui posais plein de questions sur les jours passés. A chaque fois elle me répondit par monosyllabe, sèchement et durement. Au fur et a mesure que le dîner avançait elle devint de plus en plus rouge et impossible d’avoir une conversation soutenue avec elle. Ces monosyllabe interrompue par de long moment de blanc me dérangeaient au plus haut point, ce n’étais pas dans nos habitudes, quelque chose n’allait pas, mais quoi ? Je lui posais des tas de questions « qu’es ce qui ne va pas » « rien tout va » «t’es pas bien t’es toute rouge » «non, non … » « le plat ne te plait pas ? » « c’est très bon »… Cette attitude commençait à me peser lourdement et décida de crever l’abcès « Mais alors quoi … en dix minutes tu changes complètement, tu ne pètes plus un mot, t’es distante, froide …que ce passe t’il … ??? ». Sarah devint cramoisie, les traits de son visage se durcissaient, ces yeux devinrent de véritables mitraillettes et le volcan en somnolence éclata dans une furie calme mais ooooh combien dévastatrice …et me lança : « Que tu ne veuilles pas te mettre en ménage OK, que tu n’es pas prêts à recommencer une histoire d’amour sérieuse OK, que tu veuilles garder ta liberté, encore OK, mais que tu laisses une de tes maîtresse employer mon savon de bain NON, que je puisse faire sa lessive des essuies qu’elle a employée c’est encore NON NON et NON » et là elle éclata en larmes. Jamais je n’avais vu quelqu’un pleurer comme elle le fît. Non seulement en neuf mois de temps je n’avais jamais vu Sarah pleurer, même pas à la mort de sa mère, mais cette façon dont elle pleurait annonçait la fin de la vie (non qu’elle m’ait un jour essayé de me faire croire qu’elle pourrait passer au suicide, ça jamais, mais c’étais des larmes et de pleurs de désespoir, comme si le monde autour d’elle s’effondrait). Au fait, une de mes maîtresse avait été dans une des armoires de la salle de bain, elle avait utilisé le savon de douche de Sarah et ce à mon insu et avait taché deux essuies de bains avec du fonds de teint (quelle gourde LOL ou l’avait elle fait exprès ???)

Le souper étant presque terminé j’installa Sarah confortablement dans le canapé moïlleux du living pour la consoler et la réconforter. Je lui servi un bon café et un petit pousse qu’elle aimait bien. Entre ce passage de réconfort il n’y eut pas beaucoup de mots échangés mais beaucoup de gestes très très tendre… de la vrai tendresse, entre gens qui se comprennent qui ont mal mais qui sont comme pris dans leur destin et qui ne peuvent y échapper. Les lumières tamisées y étaient encore toujours, le fond de musique jazzy blues aussi, seul l’atmosphère de fête c’était transformé en atmosphère d’après l’apocalypse. Instinctivement je m’installai dans ma chambre alors que Sarah était dans le salon. On avait besoin de faire le point après cette tempête. Le temps passa, un quart d’heure, une demi-heure, la nuit étais déjà bien avancée, il était au moins déjà une ou deux heures du matin quand je vins la retrouver dans son canapé. Je ne put m’empêcher de l’enlacer, de la bercer, de lui embrasser le front et alors …. Je lui pris les miens dans les miennes. « Chérie, tu es une femme merveilleuse, je t’aime et tu me combles, tu m’as toujours compris et tu m’as toujours laissé faire… » je la fixait droit dans les yeux et continua tout en gardant ses mains dans les miennes… »Aujourd’hui je me sent prêt, je me sent prêt à faire ma vie avec toi pour toujours, t’es une femme parfaite (enfin presque faut pas exagérer LOL), j’ai envie de faire ma vie avec toi ». La ses yeux ont recommencé à se mouiller, elle se lança dans mes bras non plus de peine mais de joie. Je ne vous expliquerai pas comment cette nuit c’est terminée mais vous vous imaginez bien qu’après 9 mois de vie disparate mais remplie d’amour, de craintes, de maîtresses, de solitude, la joie pour tous les deux étaient à son comble et que nous n’avons pas beaucoup dormi cette nuit là.

Après 5 ans de procédure en divorce (qui n’était d’ailleurs toujours pas terminée) je retrouvais enfin une femme digne qui comprenait un homme, mais qui n’était pas prête à n’importe quoi, sous prétexte d’être amoureuse (pas mal comme phrase non ?).

C’est le début de notre union qui connaîtra encore beaucoup de tournants toujours positifs, les uns plus que les autres, mais avec un tel amour qui ira de plus en plus loin comme vous pourrez le constater au fil de la continuation de ce blog.

PS : Ce texte c’est la deuxième fois que je l’écris. Une fois ce matin durant 3 heures et une fausse manipulation et j’ai tout perdu. Je voulais vous en faire part de ce départ d’une nouvelle vie, donc au lieu d’abandonner j’ai recommencé. Néanmoins je préférais la première version, mais bon c’est la vie !

NB : la suite d’ici quelque jours, le texte est dans ma tête ou plutôt le profil, et je vous promets le début de plus en plus chaud d’un couple qui déborde d’amour et de passion.

Bonne soirée

Domjohn

INFO : Je viens d’apprendre le grave accident de voiture de connaissance à nous « Vénus et YoYo » avec qui on était encore vendredi. J’ai une pensée pour eux, qu’ils s’en sortent !!!

Chers Amis,

Voilà en près de 10 jours j'ai pu remarquer que le nombre de visiteurs avait doublé voir triplé. Donc j'ai décidé de le continuer puisque visiblement certains l'apprécient.

Juste dommage que personne ne fasse ci et là un commentaire, ne fut ce que pour savoir si vous désirez plus d'article d'un style ou d'un autre, plus de photos, plus de sujet ... et pourquoi ne pas commenter les sujets ( J'ai aimé, j'ai pas aimé, et pourquoi pas parler de .... etc ...etc ... )

Allez un petit effort, et puis inscrivez-vous à la news letter tout en bas du blog à droite.

Bon Week-end et a +

DomJohn  

Quelque années après avoir connu B, le hasard fit tel que j'étais célibataire depuis quelques mois, (enfin célibataire c'est une façon de parler car je ne l'ai jamais été plus de 5 jours LOL) et je me suis retrouvé dans les bras d'une femme de 9 ans de plus que moi.

 C'étais devenue une Maîtresse attitrée ou presque. Un jour alors qu'on étais parti en Espagne elle connu des problèmes intestinaux. Ce fût l'occasion de découvrir les plaisirs du lavement, médical d'une part et sexuel de l'autre.

 Ce qui était terrible avec M c'est qu'elle en voulait toujours plus. Elle avait beau avoir 9 ans de plus que moi et bien sincèrement je ne parvenais pas à la suivre. Nous faisions 2 à trois fois l'amour par jour et .... ce n’était pas encore assez. Je n'en pouvais plus. J'avais la bite comme un chou-fleur et les couilles qui ressemblaient à des raisins sec tellement elle en abusa et la quitta, tel son appétit était trop grand.

 Il se fait qu'à cette époque j'avais plusieurs Maîtresse et je commençai à m'occuper un peu plus de P.

 P avait 3 ans de moins, de longs cheveux brun foncé, des yeux presque noirs en amande et une bouche de pipeuse que attirait tout male aimant se faire gâter.

 Ni grosse, ni mince elle avait une poitrine très fournie et des tétons très sensibles. Juste les caresser et les titiller un peu et elle rentrait en transe. Au fil du temps je constatais qu'elle aimait bien un brin de soumission et je m'aventura à la guider. Je commençais par l'attacher les yeux bandés au lit afin de m'occuper de son corps. Son excitation était visiblement augmentée lorsqu'elle m’était soumise.

 Afin de lui procurer de plus en plus de plaisir et d'éduquer sa libido, je l'initiais petit à petit à l'exhibition dans les bois, les parcs, le long de certaines routes, dans la voiture .... et chaque fois elle devenait trempée d'envie, elle n'étais plus à contrôler si bien que je décida de calmer le jeu mais.... dans la douleur, la douleur sensuelle délicate et acceptable pour que cela reste un plaisir pour tous les deux.

   c'est ainsi qu'un soir alors qu'on étais chez elle et après un bon repas aux chandelles, on en vins à se caresser mutuellement. Je sentais sa chatte trempée pendant qu'elle me suçait la tige, et c'est là que je pris la décision... Lève toi et retourne toi. Elle s'exécuta et je lui l’aveuglai avec un foulard. Je la conduisais ainsi aveuglée vers la chambre à coucher. Elle était nue devant moi, sa forte poitrine toute tendue avec ses tétons près à exploser. Je lui fis lever les bras et las attacha au sommet de la garde robe. Elle ricanait très légèrement car elle ne savait pas la suite mais étais visiblement de plus en plus excitée. Je lui fis ensuite écarter les jambes et attacha ses pieds au deux extrémités de la commode. Elle m’était tout à fait soumise maintenant. Je m'approcha de son oreille et lui susurra " Tu sais que maintenant tu es à ma merci et que je pourrai faire de ton corps ce que je voudrai, tu ne sais tout de même plus bouger" Sur ce elle rétorqua avec une voix très légèrement tremblotante: " Si tu exagère je pourrai encore toujours crier pour qu'on me vienne à l'aide". Elle savait très bien que je n'exagèrerait pas, elle savait que pour moi tout ceci n'étais qu'un jeu de D/S ou les deux doivent pouvoir prendre leur plaisir. Je lui rétorquai " pas pour longtemps" ! Je commençai par glisser mains le long de son corps pour abouter à son entre jambes. Son corps remuait au passage de mes mains, et lorsque je glissa un doigt entre ses lèvres je compris qu'elle appréciait réellement ce qu'on étais en train de faire. Jamais je ne l'avais sentie aussi mouillée, sa cyprine commençait même à dégouliner le long de l'intérieur de ses cuisses. Je le lui fis remarquer et une légère rougeur de honte s'empara de son visage. Je pris son slip et lui essuya doucement l'entre jambe et lui enfonças son slip en bouge et lui murmura "attends, c'est maintenant que le meilleur arrive". Je commençai par lui caresser tout le corps, les seins, les fesses les jambes pour remonter au cou et de temps en temps j’effleurai sa petite touffe de poils pubiens toujours bien net et propre. Je revoyait que sa liqueur d'amour recommençait à perler le long de ses cuisses et je que son corps se dandina de plus en plus. Elle approcha lentement mais sûrement de l'orgasme. C'est à ce moment précis que je pris les pinces auxquels étaient attachés des poids. Je commençait à lui titiller doucement et gentiment le clitoris qui commença a pointer et là brusquement j'attacha une des pince au tétons d'un de ses seins et lâcha le poids. La surprise tétais réelle. Elle émit un râle sourd et se trémoussa, plus de peur que de mal. Instinctivement elle avança son pubis en avant comme si ça deuxième bouche voulait dire quelque chose. J'y approcha ma bouche et commença à lui lécher la chatte trempée et ouverte d'envie. La première réaction d'étonnement passée, je lui mis la deuxième pince au seins gauche et là même scénario mais son vagin se trémoussa dans tous les sens tel l'envie d'être prise étais forte...Mon sexe dur et gonflé effleura sa chatte. Elle essaya e le happer de son sexe, mais ces mouvement firent balancer les poids attachés à ces tétons ce qui l'existait encore d'avantage.

Et la après quelques minutes de jeux alors qu'elle n'étais plus qu'une chatte trempée sur patte je la pénétrait de toute la longueur de mon sexe. J'y pénétrai comme dans du beurre. Elle approcha de l'orgasme et c'est là en la  limant tendrement mais fermement juste avant qu'elle n'aille jouir que je libérai un téton de l'emprise de son poids. Elle sursauta par la surprise mais comme mon sexe la repénètrai jusqu'au fond de sa grotte elle émit un long râle et quelque subressaut car son premier orgasme avait été atteint. Je la laissa reprendre un peu de souffle et recommença mon va et viens. Je tirais maintenant légèrement au poids du sein gauche que je n'avais toujours pas libéré. Elle tressaillait sur place je vis au gestuelle de son corps que le second orgasme allait se déclencher. Je rentrait et sortait de plus en vite de son gouffre trempé d'excitation même temps que je tirait sur le poids du sein. Elle allait éclater de jouissance  et c'est au moment ou le poids lâcha sur la pression de mon étirement qu'elle se cambra et hurla d'un plaisir assourdi son slip en bouche. Retrouvant petit à petit ces esprits se caressait tendrement son corps et la défit de tous ces liens. Je la pris dans mes bras tel pour la consoler mais ce geste tendre et émouvant lui faisait comprendre combien je savais qu'elle avait fort joui et combien cela m'a fait plaisir de se donner a moi en toute confiance. La seule parole qu'elle parvint à exprimer fut "Ooooooh merci, merci de m'avoir fait jouir comme cela, jamais je n'avais senti ça, merci, je t'aime" et elle s'endormit dans le creux de mon bras crevée claqué d'avoir joui si intensément.

DomJohn