LIBERTIN,

MASSAGE DE LA PROSTATE

Cette pratique décrite ci-dessous n’a rien à voir avec l’homosexualité ou la bisexualité, je tenais à vous le signaler. Simplement, l’homme possède divers zones érogènes, mais certaines sont très mal connues, et portent parfois de lourds préjugés. Ce n’est pas parce que vous découvrez une zone érogène située autour et dans l’anus que vous deviendrez homosexuel, rassurez vous.

La stimulation de la prostate, parait-il, est en plus, excellent pour la santé, il parait (je note « parait », car je ne suis pas médecin et je ne tient pas à m’avancer dans cette direction là) qu’elle peut éviter nombreux problèmes de la prostate, que beaucoup d’hommes craignent une fois passé les 50 ans.

Il existe également un genre de petit gode pour stimuler la prostate soi-même. Il est appelé ANEROS et vaut entre 60 et 80 €. On le trouve assez facilement en vente sur des sites Internet, à vous de chercher un peu. Personnellement je ne l’ai pas mais qui sait peut-être un jour.

Je pratique la stimulation de la prostate, soit seul soit avec ma femme. Je peux vous garantir que le plaisir est immense et que l’éjaculation est très très abondante. J’estime entre le double et le triple d’une simple éjaculation. Au cas ou vous auriez envie d’essayer, je vous conseille un petit lavement à l’avance et surtout d’employer beaucoup de lubrifiant, de préférence à base d’huile.

Je tiens à préciser également que ce n’est peut être pas dès la première ou la deuxième fois que vous sentirez les réels plaisirs du massage prostatique, néanmoins ça accompagné d’une bonne fellation ou de caresses masturbatoires vont vous faire grimper au 7 ième ciel.

Voici l’article que je vous ai réservé, et n’oubliez pas de me laisser vos commentaires.

DomJohn

Les hommes ont-ils un point G ?

Le point G de la femme reste pour certain(e)s aussi introuvable que le Saint Graal. Chez l'homme, même mystère ! Mais une zone "ultra-sensible" a pu être repérée : suivez le guide !

Le chemin du plaisir est pour le moins sinueux et semé d'embûches. Existe-t-il chez l'homme un point-clef dont la stimulation mènerait à l'orgasme à coup sûr ?  Peut-être… Selon le Docteur Gérard Leleu¹, une femme avisée repérera et stimulera chez son partenaire une petite zone d'excitation, qu'il a baptisé point d'érection B (située sur le périnée, entre le scrotum et l'anus) : une pression douce et ferme apportera beaucoup de plaisir, pouvant accentuer l'érection, et même, pour un point correctement titillé, mener à l'éjaculation. De B à G, n'y a-t-il qu'un tout petit pas dans l'alphabet du sexe ? Peut-être, car si la stimulation reste superficielle, elle semble correspondre à un endroit essentiel du plaisir : la prostate ! Et s'il "n'existe aucun analogue du point G chez l'homme, certains hommes apprécient la pression sur leur prostate au cours d'un toucher (anal)" reconnaît le Dr Jean Belaïsh dans son ouvrage de référence².

La prostate, zone-clef du plaisir…

En effet, la prostate, cette petite glande de la forme et de la taille d'une châtaigne située sous la vessie et traversée par l'urètre, participe non seulement à la fabrication du sperme, mais aussi au plaisir et à l'éjaculation. Explication : lors de l'éjaculation après le remplissage des canaux éjaculateurs c'est la prostate qui se contracte, les sécrétions prostatiques se mêlent alors au liquide séminal³. Puis la contraction des muscles bulbo caverneux expulse le sperme de manière saccadée vers l'urètre pénien. Ces saccades musculaires participent grandement à la sensation de plaisir.

Guide  pratique

Certains hommes, donc, apprécieront que leur compagne stimule, par voie interne, cette région hautement stratégique dont l'origine tissulaire est, curieusement, la même que celle du fameux point G féminin ! Pour cela, la seule solution pour madame est d'introduire un doigt dans l'anus de son partenaire, pour aller repérer (grâce à sa forme caractéristique), toucher et masser la glande et ses contours situés à quelques centimètres à l'intérieur du canal anal. Il faudra beaucoup de doigté et de délicatesse (ainsi qu'une bonne lubrification) pour que la stimulation soit plaisante, et ne s'apparente pas à ce que bon nombre de messieurs redoutent par dessus tout : le toucher rectal pour examen de la prostate ! Avis aux amateurs…

Isabelle Delaleu

1 - "Le traité des caresses", Dr Gérard Leleu, éd J'ai Lu
2 - "Questions d'hommes", Drs Jean Belaïsch et Anne de Kervasdoué,
      éd Odile Jacob
3 - Ejaculation chez l'homme : Physiologie, conservation chirurgicale
     de l'éjaculation, Progrès en urologie, 1999 , vol. 9 , no 2 , pp. 305 - 309,
     HERMABESSIERE J. , GUY L. , BOITEUX J.-P.

Durant deux semaines, nous avions bien sur continués à se voir. Je remarquais que l'alcool prenait une place de plus en plus importante chez elle, mais je n'y fis pas trop attention.

Eh puis, une quinzaine de jours plus tard, alors qu'elle avait un bon verre de whisky dans le nez, nue sur le lit les jambes écartées elle me dit : "ce soir je vais souffrir pour toi" "promet moi de le faire j'ai envie, j'ai envie d'avoir mal pour toi".

Je ne comprenais pas. Jamais je n'avais vraiment touché aux plaisirs du Sado-Masochisme. Moi jeune cadre BCBG d'une famille on ne peut plus bourgeoise, on me demande de faire mal à une femme. Comment faire, même pour lui faire plaisir je ne savais pas comment. C'est alors qu'elle sorti une épingle à nourrice de son sac et me la tendis. "Pique moi, pique moi partout ...». J'étais bouche bée. Mais si tel étais son désire .... Je m’exécutai. Sachant que ses tétons étaient très sensible c'est par là que je commençait. Tout d'abord je commençai par l'exciter. Son clito avait déjà doublé de volume sous les caresses de mes doigts et de ma langue. Sa chatte était une véritable fontaine et sa cyprine dégoulinait le long de ses petites lèvres. Et c'est là que juste avant qu'elle ne commença à prendre son pied, quand elle était au bord de l'orgasme ... que je pris un de ses tétons entre deux doigts, et de l'autre main, l'épingle de nourrice commença à le piquer. Elle se tordait ( et je me demande encore si c'étais de mal ou de bien) mais au plus fort que je piquais au plus qu'elle criait et se tordait.

Ce traitement dura quelques minutes et j'allais retrouver son entrejambe. Sa chatte c'étais complètement ouverte et je pu voir son nectar dégouliner tel une petite source. Ne pouvant pas faire tout en même temps et la piquer et lui caresser la chatte, elle m'implora, "encore, encore ...pique, pique" et là je pris l'initiative d'approcher l'aiguille de sa chatte. D'un petit coup bref mais pas trop puissant je commençai à lui piquer les grosses lèvres. Voyant qu'elle écarta encore plus les jambes et stimulé par ces petits cris de chienne en chaleur j'attaquais également mais tendrement les petites lèvres, toute luisante de mouille.

Ca pris que quelques dizaines de seconde ou elle s'arc-bouta et jouissait d'une façon incroyable. Au fond B ne pouvait avoir qu'un réel orgasme que quand on lui faisait mal. Mais quand je vous parle d'un réel orgasme... j'ai vraiment cru qu'elle allait tomber dans les pommes de jouissance.

Notre entente était très bonne, le seul problème que j'avais c’était qu'au bureau elle devenait de plus en plus exigeante. J'avais beau essayer de la calmer et de la raisonner, mais rien à faire, elle étais littéralement insatiable, une nymphomane quoi !

Au bout de 3 mois j'ai du mettre foin à cette relation pour deux motifs, d'un côté le boulot et de l'autre son problème d'alcool qui devenait de plus en plus grave.

Aujourd'hui, soit douze ans plus tard je sais via d'anciens collègues qu'elle est devenue une épave et une loque humaine suite aux ravages de l'alcool. Quel dommage. 

J'ai déjà essaie de la retrouver pour l'aider à s'en sortir mais pas moyen d'obtenir un n° de téléphone, dommage, j'aurais bien voulu la sortir de cet enfer en mémoire à l'apprentissage qu'elle ma donné.

5 ans plus tard  j'ai connu une autre aventure avec une soumise, mais comme vous le savez, je vous laisse un peu sur votre faim et je vous la raconte une prochaine fois.

P.S. : encore une fois tout ceci est réel !!!

DomJohn

Il y a 12 ans, j'étais marié.....j'étais mal marié.

Ma femme ne voulait qu'être marié et avoir un gosse, ensuite elle délaissait son mari à tous niveau.

Pas de repas quand je rentrais du boulot, pas de lessive faite, l'appartement pas rangé, plus de vie sexuelle, ... le bordel total quoi !

Alors le jeune homme que j'étais (et que je suis encore 42 ans, mais dans la tête 32, et 25 dans la queu LOL), se trouva une maitresse de 5 ans son ainée. pas avec un grand "M " bienentendu !

Elle était secrétaire de direction de mon patron. Pas très jolie, un peu forte, mais des yeux à vous clouer sur place tant son regard vous demandais de la satisfaire.

Et puis un jour, lors d'une rencontre dans la société pour laquelle elle et moi travaillions, cela c'est mis.

Rapidement on se retrouvait après les heures de travail, dans une galerie marchante ou il y avait plusieurs bars sympa.

Son avidité de sexe était telle, qu'elle avait l'art de m'exiter dans le bar qu'on fréquentait. Elle passa les mains sous table afin de me caresser le sexe, et souvent c'étais même ses pieds qui s'en chargeaient.

N'en pouvant plus cela ce termina par une baise rapide soit dans les toilettes de la galerie marchande soit dans le parking public dans lequel on garait nos voitures respectieves.

Mais ces baises rapides ne lui suffisaient plus.

On pris la décision d'aller dans des hôtel de passe, non loin de là.

Au départ, content de se retrouver dans l'intimité, on fit l'amour conventionellement. Mais cela n'allait pas durer longtemps.

Au bout de 10 - 15 jours on exera presque toutes les positions du Kama Soutra.

Et puis un jour, alors qu'on se retrouva dans le bar habituel, elle me regarda droit dans les yeux ( j'en ai encore la chaire de poule quand j'en parle ) et me dit "J'ai un cadeau pour toi".

Sans attendre elle ressortait de son sac une énorme courgette digne d'être cultivée à Chernobil.

Et ajouta : " Je veux que ce soir tu me l'enfonces dans la chatte " ( Je vous assure que quand vous venez d'un milieu bourgeois très BCBG, cela vous impressionne a 30 ans ) . Sur ce elle se leva me pris la main et m'ammena à l'hotel ou l'on réserva la chambre pour 3 heures.

Je fis monter 2 whisky glace et là tout débutta.

Après de long préliminaires, je me suis servi de la courgette. Au plus que je l'enfonça dans sa chatte chauffée à blanc au lus elle cria de plaisir. Sa chatte était devenue une véritable fontaine de jouissance. Le légume entra et sorta sans problème, et elle elle se tordait dans tous les sens du au plaisir qu'elle éprouvait.

J'étais fort surpris de cette dilattation énorme que le sexe d'une femme pouvait accepter alors qu'elle n'étais pas enceinte.

Nos péripéties terminées, elle me dit que pour la prochaine fois elle aurait une autre chose à me demander.

Ce sera le récit de la prochaine fois.

P.S. : cette histoire et toutes les autres sont VRAI, je n'essaye pas de faire des contes érotiques, j'essaie simplement de vous raconter comment je suis devenu libertin. 

DomJohn

   Les  Safewords  

Un « Safeword » (il n’existe pas de mot en française) est un genre de code entre le(la) Dominant(e) et le (la) soumis(e) .

Ce code, ce "safeword" peut être un mot ou un geste, et est un moyen de s’assurer que le jeu pratiqué est bien consensuel. Un jeu se doit d’être consensuel, c’est là que réside la différence entre une scène érotique et excitante ou un horrible et bien réel acte de torture ou de viol.

Ce « safeword » est donc essentiel à tout jeu entre adulte consentant pratiquant le D/S le BDSM et autres ….

Un des frissons provoqué par le jeu est bien sûr que les limites sont à chaque fois reculées, afin de découvrir de nouvelles sensations. Ceci est bien évidemment excitant et désiré, mais cela doit aussi être progressif. Le (la) Dominant(e) comme le(la) soumis(e) souhaitent souvent aller de plus en plus loin mais ils ne sont pas télépathiques, et dès lors, il n’est pas toujours aisé de savoir quand le(la) soumis(e) en a vraiment assez.

Un " safeword" est donc un mot que le soumis peut utiliser pour faire cesser immédiatement une scène ou un jeu. Ce moyen peut devenir nécessaire pour plusieurs raisons. Par exemple, le(la) soumis(e) reçoit une bonne fessée, et subitement cela ne lui semble plus agréable. En utilisant le « safeword », le(la) soumis(e) dit en fait "STOP" au Dominat(e), il/elle l’avertit que quelque chose ne va pas ,que la scène ne fonctionne plus pour lui ou pour elle. Peut-être a-t-il passé son seuil de tolérance, ou qu’il a un problème avec ses liens ou encore qu’il est tout simplement trop fatigué pour pleinement jouir de la scène.

Un(e) soumis(e) peut très bien se trouver en présence d’un Maître ou d’une Maîtresse qu’il ne connaît pas bien et il est important de communiquer son désir d’arrêter, spécialement si le(la) soumis(e) est attaché(e) et réduit(e) à l’impuissance. Quand un "safeword" est prononcé, il doit toujours être pris au sérieux et le jeu doit être immédiatement arrêté. Si le(la) Dominant(e) ne respecte pas ce "safeword" , il y a fort à parier qu’il ou elle ne respectera pas non plus d’autres limites et le(la) soumis(e) doit décider s’il souhaite vraiment continuer à jouer avec quelqu’un qui ne reconnaît pas les limites.

Mais pourquoi donc utiliser un mot de code ?

Facile ! Fréquemment, dans le jeu, le(la) soumis(e) est amené(e) à supplier, à demander grâce, et donc, "NON" ne signifie pas toujours vraiment "NON" ! Un mot de code permet au (à la) Dominant(e) de savoir qu’il/elle pousse le(la) soumis(e) trop loin qu’il/elle ne puisse le supporter.

Ceci étant dit, il est toujours de la responsabilité de Dominant(e) de garantir un jeu sûr, et celui–ci ne peut se retrancher derrière l’excuse " mais tu n’avais qu’à utiliser ton mot de code ". Un(e) soumis(e) sous l’effet de la douleur ou emporté par l’extase peut ne pas avoir la présence d’esprit, ou ne plus être capable, d’utiliser son "safeword". Donc c’est au (à la) Dominant(e), qu’il appartient de contrôler la situation et d’être très vigilant à ce qui se passe à chaque instant.

Dans une situation où le(la) soumis(e) ne sait pas parler, parce qu’il(elle) est bâillonné(e), il(elle) va utiliser un geste en lieu et place d’un mot de code. Ceci peut être aussi simple qu’un clignement des yeux très appuyé ou une pièce de monnaie, une bille, voir un mouchoir, tenu dans la main et qui quand il tombe, signifie que le mot de code a été prononcé.

Une variation utile et subtile au « safeword », est le mot de code pour ralentir (slowword), un mot que le(la) soumis(e) prononce quand il ne veut pas véritablement arrêter le jeu, mais quand il souhaite avertir le(la) Dominant(e) qu’il/elle est sur le point de donner le "safeword". Par exemple, le jeu devient trop intense, toujours acceptable mais néanmoins proche du point d’intolérance. Ce mot pour ralentir signifie en fait ; " je vous en supplie ! Ne me frappez pas plus fort! " jusqu’à "je ne supporterai pas cela plus longtemps". Le (la) Dominant(e), devra bien entendu tenir comte de ce mot de code, mais pourra ainsi mieux jauger le degré de jeu à ne pas dépasser.

Une variation moins fréquente du "safeword" est le "goword" ou un mot utilisé par le(la) soumis(e) pour dire :" j’aime vraiment ceci " et si ce mot est utilisé dans une scène S/M, cela veut dire que plus de douleur est souhaité.

Le "safeword" le plus utilisé est "rouge", avec "jaune" comme "slowword" et "vert" comme "goword", mais n’importe quel autre mot choisi, de commun accord, peut convenir. Il faut toutefois s’assurer que le mot ne sonne pas comme un autre mot utilisé dans le jeu, et qu’il soit évident ! Par exemple : "détresse" pourrait être confondu avec "Maîtresse" s’il n’est pas prononcé d’une manière claire et distincte ! Donc, à proscrire.

Si, en tant que Dominant(e), vous vous sentez épuisé(e) et que vous souhaitez arrêter la scène, ou si vous rencontrez une réaction vigoureuse, à laquelle vous ne vous y attendiez pas du tout, et que vous n’êtes pas sûr de comment continuer, vous pouvez aussi utiliser ce « safeword » ( il n’est donc pas seulement réservé aux soumis(es).

Dans tous les cas de jeux D/S ou S/M, il existe une possibilité de devoir arrêter le jeu brutalement. Si vous convenez de cette possibilité, à l’avance, et si vous discutez des types de remèdes et de réconforts qui seraient appropriés, cela rendra toute récupération, après un accident, plus facile et plus agréable. Ce n’est pas parce qu’une scène tourne mal qu’il faut croire que vous ou votre partenaire est fondamentalement mauvais ou déloyal. Des erreurs peuvent arriver. (Si votre partenaire ne veut pas entendre vos remarques à la suite d’une mésaventure, ou s’il minimise ou tourne en dérision vos inquiétudes, vous serez peut-être dans l’impossibilité dans le futur de continuer de telle façon avec ce partenaire. Votre relation doit s’enrichir si une expériences malheureuses devrait se produire, si tel n’est pas le cas c’est que vous n’êtes probablement pas prêt à vivre de nouvelles aventures D/S - S/M).

En conclusion, tous les adeptes du BDSM – DS/SM n’utilisent pas ces mots de code, mais, moi, DOMJOHN, personnellement, je les trouve donc indispensables et nécessaires, et je vous recommande vivement de les utiliser de commun accord avec votre partenaire de jeu.

Ecrit Par Mistress Catharine

(traduit par "coco" par respect et soumis à Maîtresse Catharine et Maître Pierre)

MAIS REMANIE ET ADAPTE PAR DOMJOHN

Qui vous souhaite de bons jeux en toute sécurité

ET VOUS ???

Qu’est ce que le Figging ? 

Le figging est une pratique sexuelle qui consiste en l'insertion d'un "doigt" de racine de gingembre, dans l'anus. La sensation de brûlure apporte parait il un intense plaisir. Cette technique est utilisée par certains pratiquants de BDSM.

  

 

Figging avec du gingembre : Comment faire

 Par  "Master Micheal"      

  Le moment venu,  j'aime en général, avoir ma soumise attachée, le visage vers le lit sur un oreiller. Pas de bandeau. C'est important de la laisser voir et m'entendre préparer le gingembre. L'anticipation est spectaculaire, spécialement si elle n'a jamais expérimenté cela auparavant. L'angoisse générée par l'anticipation, à elle seule, est aussi bonne que l'expérience. Maintenant vous êtes prêts à couper un doigt de gingembre de la main. 

 

Une fois que vous avez pelé la racine, vous devez maintenant réaliser un truc un peu difficile. Avec le couteau, aux deux tiers de la racine, creusez avec précaution une concavité autour du "doigt". Ceci agira comme un "outil" de rétention. Comme un butt plug.

 Ce qu'il y a de bien avec le gingembre, c'est que cela prend un petit peu de temps à faire effet. Une fois que c'est commencé, ça part fort. Pendant que vous attendez que le plaisir commence, allez laver vos mains. Vous ne voulez pas toucher vos yeux ou les yeux de votre soumise par accident avec du gingembre sur les mains croyez moi. Maintenant asseyez vous confortablement et appréciez le show. Beaucoup de soumises deviennent très "vocales" lorsque le gingembre commence son office. 

 L'effet du gingembre dure approximativement 20 minutes, après quoi, cela diminue rapidement. Ce qu'il y a de bien c'est qu'aussi intense que soit l'effet sur la soumise, vous ne la blesserez pas et cela a une courte durée. Une fois que la sensation diminue, retirez le gingembre et continuez vos autres "occupations". Le gingembre a aussi une propriété qui le place loin devant n'importe quelle autre substance, le jus de cette racine a le pouvoir de créer une incroyable excitation. J'ai eu des soumises qui commençaient à pleurer, implorant que je leur donne quelque chose pour qu'elles puissent avoir un orgasme. La réaction est encore pire si le jus de gingembre vient en contact avec le clitoris.

Figging : A quoi cela ressemble t'il ?

 Témoignage :

 "Le maître a gentiment mis un peu de lubrifiant sur mon petit trou et ensuite j'ai senti la froideur du gingembre poussé à l'intérieur de mon cul et maintenu en place par une lanière. Au début le gingembre était froid, mais la sensation a vite changée et j'ai senti la chaleur monter, quelques minutes après je me tordais sur le lit, incapable d'échapper à la chaleur du gingembre placé dans mon cul. Je me concentrai pour maîtriser cette douleur, et cela marcha quelques instant jusqu'à ce que mon maître utilise ses doigts pour pousser la racine un peu plus loin, et la douleur redevint insupportable.

 Pour me faire penser à autre chose, mon maître décida de fouetter mes fesses avec le martinet à noeuds et également avec la cravache ...

 Lorsque mon mitre retira le gingembre je me suis sentie soulagée, bien que mon anus soit resté sensible toute la soirée.

 Ce que l'on ressent :

 Un fan de figging en parle : 

 L'anticipation qui grandit en moi pendant que je suis dans la cuisine, fabriquant des jouets sexuels à partir de végétaux, m'excite.

 Comme s'ils avaient été conçus pour cela, les "doigts" de gingembre ne nécessitent pas de lubrifiant avant d'être insérés. Pour être honnête, je ne connais pas la raison, tout ce que je sais c'est que je peux l'introduire sans appliquer au préalable un demi tube de lubrifiant.

 Et les effets sont toujours instantanés. En moins de deux minutes il y a une incroyable sensation de chaleur qui fait que vous ne savez plus si vous avez envie de pisser, chier ou jouir ou les trois en même temps.

 Au bout de 05 minutes, je me bat contre le besoin de me libérer, et c'est seulement parce que l'expérience m'a appris à ne pas le faire que je ne le fais pas. Car je sais que si je le laisse là pendant 10-15 minutes (l’efficacité diminue après environ 15 minutes) j'obtiens un bien être sexuel que je n'ai pas réussi à reproduire par des autres moyens, outils, ou légumes !

 Un autre témoignage : 

 Une autre fille parle de cette sensation : 

 Après un moment de bonne baise, il a recommencé un "figging". Cette fois ci j'avais une bonne idée de ce qui allait arriver. Parfois nous en avions discuté un peu. Il sortit du salon, puis revint et recommença à me baiser. Mais cette fois, il pelait un doigt de gingembre en même temps. Un peu de jus de gingembre est tombé sur mon dos, et ce a juste provoqué une plaisante sensation froide, comme de nettoyer la peau à l'alcool. Rapidement cette sensation s'est transportée à mon entrejambe pendant qu'il me baisait. Bientôt le gingembre fut prêt et il l'appuya contre moi. J’étais un peu ennuyée à ce propos, alors ce ne fut pas très facile. Cela prit quelques secondes pour que la sensation apparaisse, mais soudainement, mon cul bougea follement. J'avais déjà lu que cela était décrit comme une brûlure, mais ce n'était pas une brûlure. C'était froid, mais pas comme de la glace, plus aigu que cela, plus comme la sensation de la glace sèche ou de nitrogène liquide. Je pensais qu'il me baisait au départ, mais plus le gingembre était là, et plus j'étais incapable de crier. Pas un "oh oui baise moi", pas de grognement animal. Juste quelques petits cris. Je ne savais plus si je voulais qu'il continue ou qu'il arrête. Je savais qu'il me baisait mais en même temps j'avais l'impression qu'il s'était assis tranquillement pour m'observer. Je ne savais vraiment plus si je voulais qu'il continue ou qu'il arrête, alors je lui ai fait confiance pour prendre la décision à ma place.

 Un dernier témoignage :

 Qui a déjà entendu parlé de cette pratique, ou mieux, qui l'a testée ? J'ai découvert cela au cours d'une de mes lectures, et je dois dire que cela m'a interpellé... "Figging" désigne un doigt, jusque là, tout le monde suit, mais quelle est la subtilité de la chose ? Et bien il s'agit tout simplement d'un doigt de racine de gingembre frais, que l'on pèle soigneusement, puis que l'on introduit dans le vagin ou l'anus... Rapidement et durant à peu près une vingtaine de minutes, les feux de l'enfer se déchaînent ! Or, si l'on veut profiter pleinement des effets de la chose, il faut absolument tenir le coup. 

 Le deuxième effet n'est pas moindre... Tout le monde sait que le gingembre à des pouvoirs aphrodisiaques, ce n'est pas un scoop ! Or, le jus mis en contact directement avec la muqueuse anale ou vaginale  procure un bien être sexuel exceptionnel paraît-il ! C'est néanmoins à réserver aux amateurs de sensations fortes...

 Je n'ai pas essayé et je ne sais pas si j'essaierai un jour, mais je dois dire que cela a éveillé ma curiosité...

 Bon ma curiosité est enfin satisfaite ! M'étant procuré du gingembre frais récemment (et sans aucune arrière pensée je le précise...), j'ai fait l'essai. Si c'est une punition, je prends l'engagement ici même devant témoins, de désobéir on ne peut plus souvent !!!

 WAOUH... c'est... TROP BON !!! Absolument pas douloureux je tiens à le préciser, juste une chaleur très intense et qui disparaît rapidement.  Autre particularité du gingembre que j'ai constaté, c'est son pouvoir "liquéfiant"... Je me suis transformée en fontaine sans raison autre que sa présence.

 J'avoue que je n'aurai aucune crainte à recommencer. Miammmm

 Ca y est Isa!!!...j'ai essayé!
Tu as raison, c'est trop bon! J'avais peur que ce soit violent comme le parfum, mais pas du tout!!!...Une chaleur intense qui donne une seule envie, c'est d'être pénétrée!!!
La chaleur est plus cuisante au niveau de l'anus (j'ai voulu tout essayer)!
C'est vraiment très agréable et je recommencerai avec mon Pal !!!
Grâce a toi, on aura un nouveau jeu érotique...merci!!!!!!!